à deux

Parce qu’à deux, on peut échapper à ce qu’une voix peut avoir de trop définitif ou de trop affirmatif. Et prendre une distance dans l’entredeux.

Parler d’aimer

2004, où la langue infinitive s’enrichit d’une métrique pour se composer en chants, qui l’ouvrent en l’occurrence aux voix de Marianne Arzel et de sa chorale.

Se confier à l’île

Regards croisés sur Ouessant

2013, avec Françoise Péron, géographe, pour voir autrement et profiter de l’espace qui se déplie entre les deux voix.

Et pour repenser à l’île fondatrice.


Les doubles

avec Pierre Rieucau

Retour sur de tout premiers travaux, de 1981